Jouets

PLAYMOBIL: DUCK ON CALL – le quartier général qui fait coin-coin

Coin-coin et coolitude – le quartier général farfelu DUCK ON CALL de PLAYMOBIL surprend les parents et fait le bonheur des enfants.

Franchement, je n’aurais pas eu l’idée d’acheter le quartier général DUCK ON CALL. La grosse tête de canard m’agace, je ne sais pas trop ce que c’est. Lors de la distribution des jouets à tester, c’est justement cette boîte qu’on me colle dans les mains. Ou plutôt dans les bras. Car l’emballage est énorme.

Quand j’arrive à la maison avec ce jouet, mes enfants me sautent presque dessus. «Ouah, maman, c’est trop cool!» La seule taille de la boîte leur cloue le bec et la grosse tête de canard – qui arbore un large sourire sur l’emballage – les ravit: «Regarde, un super gros canard», s’exclament-ils, morts de rire. A priori, nous n’avons pas le même humour. La tête de canard est donc la première chose que nous déballons. C’est là que j’interviens, en exhortant les enfants à procéder dans l’ordre et en leur signalant que les sachets contenant les différentes pièces sont numérotés. Ça va mieux. Ma fille de presque sept ans – qui, selon l’emballage, ne fait plus partie du groupe cible de ce jeu PLAYMOBIL – se saisit de la notice de montage et guide son petit frère pour trouver les pièces nécessaires. Pendant ce temps, j’ai tout loisir d’examiner le jeu de l’œil critique de la testeuse:

Que contient la boîte?

Les différentes pièces sont classées dans sept sachets et numérotées dans l’ordre. La notice de montage.
Les piles doivent être achetées séparément.

Pourquoi le quartier général PLAYMOBIL DUCK ON CALL a-t-il tout pour devenir le jeu préféré des enfants?

Eh oui: c’est grâce à la tête de canard. Elle fait coin-coin et clignote quand une figurine Playmobil, homme ou femme, est manifestement en danger et incite les enfants à lui porter secours avec les héros de DUCK ON CALL: le pompier Freddy, la policière Polly, le garçon Ducklas et le médecin Mikey. Dans le jeu, ils se perdent ensuite dans l’ascenseur à manivelle, sur le toboggan, sur la balançoire et dans les passages secrets, s’envolent en hélicoptère vers le lieu de l’urgence et appellent à la rescousse tout l’arsenal Playmobil pour sauver la figurine Playmobil en détresse. Je dois bien l’avouer: le canard en a sous le capot.

Quels sont les points forts spécifiques de ce jeu?

Vraiment, c’est le canard. Et la taille du quartier général. «Maman, regarde le toboggan! Maman, l’ascenseur est trop cool! Maman!» D’accord, d’accord... Le toboggan et l’ascenseur à manivelle aussi.
Et voir la joie des enfants.

Qui pourrait offrir le quartier général DUCK ON CALL?

Les parents et les grands-parents peuvent partager la joie des enfants lorsqu’ils déballent l’énorme boîte et se jettent sur le canard. On n’est pas obligé de tout comprendre... Mais partager la joie des enfants, c’est formidable.

À qui s’adresse le quartier général DUCK ON CALL¬?

Selon les indications de l’emballage, à tous les enfants de trois à cinq ans. D’après mon expérience, même ma fille de presque sept ans prend plaisir à y jouer et se plonge dans des jeux de rôle avec concentration. Le petit voisin de huit ans se met lui aussi à y jouer.
Lors de mes recherches, j’ai découvert qu’il existait un jeu vidéo pour les enfants, portant le même nom. Ne comptez pas sur moi pour le dire à mes enfants. Mais pour les fans de ce jeu vidéo, le quartier général DUCK ON CALL est bien sûr un superbe cadeau!